Des jeunes et des lettres

Bérénice

 

Texte Racine mes Gaëtan Vassart

Les jeunes ont vu ce spectacle au Théâtre des Quartiers d’Ivry : pièce difficile dont la mise en scène plutôt statique en a dérouté plus d’un… Merci à Gaëtan Vassart d’avoir accepté de rencontrer les jeunes à l’issue de la représentation.

Quelques retours positifs 

Une passion mêlant amour et amitié

La pièce bien connue de Racine, Bérénice, créée en 1670, est de retour cette année. Gaëtan Vassart nous présente une nouvelle mise en scène de Bérénice au Théâtre des Quartiers d’Ivry du 14 au 24 mars 2019. J’ai aimé la salle remplie de projecteurs que je n’avais jamais eu l’occasion de voir.

Bérénice conte l’histoire d’un triangle amoureux : Titus, empereur de Rome qui vient de perdre son père, Antiochus, Roi de Commagène et enfin Bérénice, Reine de Palestine. Trois amours : l’un caché, l’un fraternel et le dernier réciproque. On plonge rapidement dans cet amour impossible dû au fait que les lois romaines interdisent à l’empereur d’épouser une reine étrangère.

Une mise en scène pleine de modernité vous attend. Un décor constitué de bancs et de néons entourant la scène ou bien des projecteurs braqués uniquement sur les comédiens. Cela permet de ne pas se focaliser sur les mouvements des rideaux en fond de scène qui laissent apparaître, par moment, une vidéo montrant un visage flouté qui petit-à-petit dévoile nettement celui de Bérénice . Seul le bruit de l’orage se fait entendre, ce qui permet au spectateur de mieux apprécier les vers. La scène des paillettes qui tombent sur Titus (censées représenter les cendres de son père) m’a tout particulièrement impressionnée de part la lumière qui illumine ces paillettes et la durée de la scène qui fait tout son charme, lui donnant ainsi toute son importance.

Un classique à voir de toute urgence !
Emma L.

C’est l’amour tragique de Bérénice qui a rempli la salle du Théâtre des quartiers d’Ivry ce vendredi 15 mars. Mis en scène par Gaëtan Vassart, on y découvre Bérénice, reine de Palestine, follement éprise du futur empereur de Rome, Titus dont les sentiments sont réciproques, mais « Rome, par la loi qui ne se peut changer, N’admet avec son sang aucun sang étranger ». Parallèlement à cet amour impossible Antiochus, ami fidèle de Titus, avouera ses réels sentiments à l’égard de Bérénice, qu’il s’interdisait de révéler par peur d’affronter Titus. Cette situation causera peine et désespoir au sein du complexe triangle amoureux que forment les trois héros. Ainsi les tourments et appréhension livrés aux oreilles des 3 confidents des héros nous avisent sur la suite sinistre des événements.
Jean Racine écrit la pièce au 17ème siècle en alexandrins, il a fallu donc compenser par une scénographie exigeante auquel le spectateur pourra s’identifier. Minimaliste et sobre, le metteur en scène a préféré mettre en avant le jeu d’acteurs et l’harmonie des comédiens. Les personnages sont constamment présents sur scène, ils sont assis autour de l’action sur des bancs et permet ainsi de renforcer l’idée collective des comédiens. Les scènes d’amour entre Titus et Bérénice sont bouleversantes et passionnées, la scène laisse place à l’amour débordant des deux amants. Le contact physique des deux comédiens montre la proximité des sentiments des personnages. Mais est ce que la force des sentiments suffira ?

Une reprise de Bérénice parmi tant d’autres. Un classique à ne pas louper !
Isaure T.

Minimaliste mais expressif !

Bérénice, reine palestinienne, et Titus, futur empereur de Rome, s’aiment tandis qu’Antiochus, le meilleur ami de Titus est lui aussi épris de cette dernière. A la mort de son père, Titus doit choisir entre son devoir politique et sa bien-aimée. Racine reprend dans cette pièce un sujet cher à l’un de ses contemporains, Corneille : le dilemme entre devoir et amour.
Dans cette mise en scène, le décor se compose uniquement de quelques bancs placés en arc de cercle, d’un espace vide au centre de la pièce, le tout éclairé par des néons diffusant une lumière blanche. Par cette ambiance futuriste et minimaliste, Gaëtan Vassert rend plus âpre le texte de Racine censé être romantique avec le dilemme amoureux de Titus, les sentiments de Bérénice pour ce dernier et ceux d’Antiochus pour la reine palestinienne. Tout comme les éléments du décor, la musique angoissante véhicule une atmosphère plus sombre au cours de la représentation. Les costumes simples et sans excès s’adaptent très bien à la scénographie déjà brute. Cela permet de se concentrer sur le jeu des différents acteurs.
Bien que cette scénographie soit accessible et agréable, Valérie Dréville interprète Bérénice et déclame son texte de manière très saccadée, ce qui détonne avec son personnage censé être élégant, séducteur ou encore gracieux.
C’est une prestation qui peut être difficile d’accès pour les spectateurs.

Cette mise en scène intrigante donne matière à réfléchir !
Paloma B.

La pièce écrite en 1670 par Racine est mise en scène par Gaëtan Vassant Belge né en Belgique en 1978. Représentation faite à Ivry-sur-Seine dans un grand théâtre très moderne à mon goût .
L’histoire de Bérénice raconte celle de l’empereur Titus qui est amoureux d’une reine nommée Bérénice, ne peut l’épouse car celle-ci est une reine étrangère. On apprend que le meilleur ami de Titus, Antiochus, aime secrètement aussi Bérénice depuis 5 ans . Suite à l’annonce du mariage de l’empereur et de la reine, le jour même Antiochus avoue son amour à Bérénice. Les 3 personnages finissent par s’éloigner les uns des autres.  (Berenice rentre chez elle et Antiochus dans ses terres )
Cette mise en scène de Gaëtan Vassant reprend la pièce de Racine qui se passe à l’époque romaine et la modernise au goût de nos jours pour montrer que cette situation peut exister encore . Il est rendu moderne grâce aux costumes des comédiens  (robe , costume ). Il a réussi à monter une grande pièce de théâtre avec un décor assez simple composé de quelques bancs pour délimiter  la zone de jeux . Gaëtan Vassant nous séduit grâce aux jeux des comédiens incroyables (colère, tristesse )
Cette pièce simple et moderne donne un coup de nouveauté et de jeunesse
Un spectacle spectaculaire grâce aux jeux des acteurs et de sa mise en scène ! A voir absolument !
César O.

Une pièce surprenante mais intéressante.

La pièce originale de Racine est mise en scène par Gaëtan Vassart. L’action se déroule à Rome. Titus, qui est l’empereur de Rome aime la reine Bérénice, et est aimé d’elle. Antiochus, le meilleur ami de Titus l’aime aussi secrètement depuis longtemps mais en apprenant qu’ils doivent se marier le soir même il décide d’avouer son amour à Bérénice. Mais Titus devient empereur et ne peut plus épouser une reine. Il décide donc d’éloigner Bérénice et de se confier à Antiochus, lui demandant de faire part de la mauvaise nouvelle à sa place. Bérénice est déchirée et dit à Antiochius qu’elle ne veut plus jamais le voir car elle ne le croit pas. Tous trois sont déchirés et font vœux de mourir.  Titus choisit finalement le devoir en dépit de l’amour  comme c’est souvent le cas dans les pièces de Racine.
Il n’y avait pas vraiment de décor à proprement parler. La scène était un espace ouvert en contrebas par rapport aux sièges, et entourés de bancs sur lesquels les personnages s’asseyaient entre leurs scènes. J’ai trouvé ça très minimaliste et intéressant. Au fur et à mesure de la pièce je n’ai pas ressenti le manque de décors ou d’accessoires. J’ai pensé que le vide de la scène permettait de se concentrer sur l’intrigue.  Le jeu des acteurs par contre m’a un peu déçu. Il n’y avait aucune performance marquante alors que la pièce est très émouvante et déchirante. Il y avait même des jeux d’acteurs que je trouvais un peu « à côté » et pas en accord avec l’ambiance de la pièce. Il y avait une performance de dance avant le monologue de Bérénice que j’ai trouvée très surprenante dans une pièce classique comme celle-ci. Même si j’ai trouvé l’initiative très bonne l’exécution était, je pense un peu brouillon et je n’ai pas compris où ils voulaient en venir.

Enfin, je conseille cette pièce mais pour un public averti.
Carla M.

Les autres retours ne sont pas très élogieux…

 Bérénice, une adaptation théâtrale qui ne met malheureusement pas en valeur le texte de Racine.
Bérénice, une pièce écrite par Jean Racine, le célèbre dramaturge français du XVIIème siècle, a été mise en scène par Gaëtan Vassart.
C’est une tragédie amoureuse qui a connu un grand succès à son époque. L’histoire raconte l’amour impossible de Bérénice pour Titus. Celui-ci, étant romain se retrouve empêché par son peuple d’épouser une femme de nationalité autre que la sienne ; il charge alors son ami Antiochus, aimant la même femme que lui, d’annoncer à Bérénice la fin de leur relation. Cette tragédie amoureuse ne comporte que  six personnages, tous essentiels au déroulement de l’histoire.
Gaëtan Vassart, le metteur en scène a choisi de créer une scénographie moderne, loin de l’univers français du XVIIème siècle. Les décors étaient trop simplistes et ne correspondaient pas symboliquement à l’histoire : les lumières aveuglantes de l’arrière-plan, par exemple, ne faisaient que gêner les spectateurs tout au long de la pièce. Quant à l’écran suspendu du plafond, les images projetées étaient incompréhensibles et perturbantes. Le deuxième reproche que l’on peut faire à cette adaptation est le jeu des comédiens, un jeu à mon goût trop minimaliste et pas assez expressif. La diction était plutôt mécanique et peu d’émotions se dégageaient de l’interprétation des comédiens. Malgré la performance plutôt décevante des autres acteurs, Anthony Paliotti a su se démarquer du reste de la troupe. Son jeu et son personnage étaient convaincants et attachants. Un autre aspect qui m’a déplu dans la pièce de Bérénice était les déplacements des personnages qui semblaient désorganisés et hasardeux. Les interprètes ne cessaient de se lever et de se rasseoir sur les bancs délimitant l’espace scénique, et leurs allers retours constants m’empêchaient de me concentrer sur le texte. Enfin, l’intermède de danse au milieu de la pièce semblait sortir de nulle part et n’avait pas sa place au sein de l’histoire.
Dommage, on sentait que le metteur en scène voulait se démarquer…
Jeanne C.

Présentation d’un classique mal revisité  dans le modernisme
La pièce de Racine est mise en scène par Gaëtan Vassart au Théâtre des Quartiers d’Ivry, Manufacture des œillets.
Bérénice raconte l’histoire d’une reine de Palestine, et Titus un empereur de Rome qui vivent une passion amoureuse intense ,cependant le peuple de Rome n’accepte pas cette liaison :  Titus et Bérénice doivent se quitter contre leur gré.
Les éléments de décor était abstraits, il y avait  des lampadaires qui entouraient la scène sans signification.
Les costumes ne sont pas de l’époque, on ne distingue pas les classes sociales
Le metteur en scène a fait en sorte qu’il y ait une danse dont je ne vois pas l’utilité, elle ne démontre aucun sentiment, symbole ou signification, me semble-t-il.
Mais le jeu des comédiens reste bon.
Océane B.

Je n’ai pas beaucoup aimé cette pièce car je n’ai pas compris grand-chose à celle-ci. J’ai eu du mal à identifier les personnages de la pièce, leur rôle et leur positionnement dans l’histoire. Les décors ne représentaient en aucun point l’endroit où se passe l’histoire, ce qui m’a mis dans l’incompréhension du cadre spatio-temporel.
Les costumes ne représentaient, aucune classe sociale ni les rôles donnés, ce qui m’a troublé dans l’identification des  personnages. Les lumières étaient de grands LEDS qui entouraient la scène et qui illuminaient la pièce, ce qui pour moi n’a pas de sens et d’utilité particuliers, à part pour l’éclairage. En revanche, lorsque les personnages sortent de la scène quand leurs répliques sont finies, ils vont s’asseoir sur des bancs disposés autour de la scène, ce qui apporte un certain lien de proximité entre les comédiens que j’ai bien aimé. Le jeu des comédiens était bon et convaincant, surtout dans la transmission des émotions comme quand Bérénice montre son amour fou à travers de grands gestes. J’ai bien aimé également le moment où les comédiens ont réalisé une chorégraphie car cela apportait du vivant à la pièce.
Axel M.

Représentation de Bérénice décevante !
La tragédie de Racine est mise en scène par Gaëtan Vassart au théâtre des Quartiers d’Ivry.
Titus est empereur de Rome et aime la reine Bérénice qui l’aime en retour. Antiochus, le meilleur ami de Titus, aime Bérénice en secret depuis 5 ans. Antiochus avoue son amour à Bérénice. Etant empereur, Titus ne peut pas se marier à une reine étrangère. Il s’éloigne donc de Bérénice et se confie à Antiochus. Ces trois personnages déchirés par l’amour, se quittent tous les trois.
Le metteur en scène Gaëtan Vassart n’a pas utilisé l’espace de la scène. En effet, il n’y avait aucun décor, si ce n’est des chaises et des lumières entourant la scène : lumières désagréables, très puissantes et blanches qui souvent pouvaient perturber. Avoir une scène vide ne fait pas avancer l’histoire, au contraire, il y avait cette impression de ralentissement et le manque de décor provoque aucun ou très peu de sentiments. Le décor ne comporte aucune couleur, ce qui ajoute un côté plus sobre et pas forcément beau. Certains acteurs étaient très bons, particulièrement Bérénice. En revanche, l’acteur qui interprète Titus ne m’a pas séduit, je trouve qu’il dégageait très peu d’émotions et ne représentait pas le personnage de Titus que je m’étais fait avant le spectacle. Le décor et les comédiens m’ont donc assez déçue et m’ont laissé sur une mauvaise note.
Un spectacle peu touchant que je ne conseille pas d’aller voir.
Kate G.

Une Bérénice insipide au Théâtre des Quais d’Ivry.

La pièce de Jean Racine est mise en scène par Gaetan Vassart.

Bérénice raconte l’histoire d’un amour impossible entre l’empereur romain Titus et Bérénice, reine de Palestine, à cause de la loi romaine. Antiochus, fou amoureux de cette dernière lui déclare sa flamme après l’avoir tenue 5 ans en secret, pour créer un triangle amoureux au cœur de l’intrigue.
Mis à part un Antiochus touchant, transmettant avec brio ses émotions et ses sentiments, les comédiens étaient complètement statiques, avec un jeu très artificiel, tant dans leur gestuelle que dans leurs déclamations. Sur un tatami rouge encadré par de longs bancs avec un éclairage à LED blanches froides et trop fortes, règne une monotonie narcotique, soudainement interrompue quelques minutes par une chorégraphie contemporaine sur un air d’opéra, assez incongrue. Bien que j’aie apprécié Antiochus, la scène d’amour entre Bérénice et lui est aussi maussade qu’interminable, sans compter les longs silences qui parsèment le spectacle.

Une mise en scène décevante d’un oeuvre qu’on m’a dite magnifique, par sa platitude et son ennui qui m’ont laissé dans l’embarras pour eux.
Giacomo B.

Bérénice débute par l’arrivée d’Antiochus et d’Arsace, sa confidente, qui exposent l’intrigue : un triangle amoureux entre Titus, futur roi de Rome, Bérénice, amante de Titus et future reine de Rome ainsi que Antiochus, meilleur ami de Titus et amoureux de Bérénice.
Personnellement, j’ai trouvé cette représentation de Bérénice assez décevante. Le jeu des acteurs n’était pas vraiment expressif tandis que le décor était trop sobre, ce qui a malheureusement fait perdre toute la puissance du message initial de l’œuvre de Racine.
Vers la fin de la pièce, G.Vassart a décidé d’introduire une danse qui, selon moi, était inappropriée et  inutile. L’écran accroché au mur projetait des images incohérentes et les paillettes noires qui tombaient à la fin ne me paraissaient avoir aucune  utilité. D’autre part je n’ai pas compris la raison pour laquelle les comédiens étaient pieds nus.
La rencontre avec le metteur en scène nous a aidés à éclairer quelques éléments de la pièce: G.Vassart a voulu représenter le contrôle de la société avec les bancs où sont assis les acteurs qui surveillent sans cesse  tout ce qui se passe tandis que l’écran projetait des vidéos de Bérénice qui se noie, les paillettes représentaient les cendres du père de Titus.

L’idée initiale du metteur en scène semblait assez intéressante, dommage qu’il n’ait pas réussi à créer une pièce aussi bonne.
Nour R.

Une classique et assommante Bérénice au Théâtre des Quartiers d’Ivry.

Cette tragédie débute par la mort de Vespasien, le père de l’empereur de Rome, Titus. Toute l’intrigue de cette pièce repose sur l’affrontement de deux impératifs inconciliables, Titus passionnément amoureux de Bérénice, reine de Palestine, doit choisir entre leur union ou se consacrer uniquement à son règne à Rome. Mais le roi de Commagène, ami proche de Titus décide d’avouer son amour à Bérénice puis de quitter Rome après cela, à l’annonce du mariage de Titus et Bérénice. Pourtant, l’empereur de Rome décide finalement de quitter sa bien-aimée et c’est au cœur de Rome que les personnages crient leur passion et leur désespoir.
Gaëtan Vassart nous offre une pièce classique, mettant en valeur par l’ardeur et la passion exprimées par les comédiens les alexandrins de Racine. Mais l’éclairage inadéquat, les comédiens peu captivants et la musique trop peu présente nous plonge dans une atmosphère lourde et ennuyeuse. De plus, le choix de décors simples et inchangés tout au long de la représentation fait persister cette ambiance fastidieuse.

Un beau texte dans une mise en scène lente et lassante.
Gabrielle D.

Titus, un empereur romain va épouser Bérénice, la reine de Palestine. Mais le sénat étant contre un mariage avec une reine étrangère va s’y opposer. Titus va donc renoncer à son union avec Bérénice et se résoudre à la renvoyer dans son pays. Il demande à son fidèle ami Antiochus, qui aime aussi Bérénice, de lui délivrer le message d’adieu qu’il n’a pas osé lui adresser lui-même. La reine est indifférente à ses avances et refuse de croire au renoncement de Titus. Elle tente en vain de le faire fléchir et semble décidée à mourir plutôt que de renoncer à son amour…
Le metteur en scène revisite la pièce avec modernité, cependant la scène est trop petite, elle nous étouffe. Les personnages font des allers-retours entre les bancs, délimitant la scène, ce qui nous déconcentre plus qu’autre chose. Les scènes d’amour entre Bérénice et Titus sont interminables. Les images floues qui apparaissaient de temps en temps sur un écran géant représentant soit disant Bérénice n’ont aucunement leur place dans cette pièce ainsi que cette danse, surgissant vers la fin de la pièce, faite de mouvements contemporains, alors que la musique de fond était un air d’opéra.

Cette pièce dont on me disait tant bien a été pour moi une mauvaise surprise, surement à cause de la mise en scène.
Yasmine M.